Le tour de France pour une écologie humaine est lancé

16 Avr, 2014 | VIE DU COURANT

A Reims, Pierre-Yves Gomez explique qu’elle est la spécificité du Courant : provoquer l’engagement de chacun et généraliser, développer les  bonnes  actions en créant des alvéoles. Le moteur du Courant réside dans la bienveillance. « Ce qui est le propre de notre liberté, c’est d’être bienveillant envers l’autre mais de manière volontaire ».

A Bordeaux, Tugdual exprime ce qui fonde la source de son engagement :  l’attention pour les plus vulnérables. Mais c’est lors d’une rencontre avec le Professeur Jean-Pierre Grimfeld, qu’il découvre le projet scientifique de la transhumanie, c’est-à-dire l’avènement de l’homme augmenté, qui constitue une rupture ontologique et selon lui « le sujet politique et social majeur de notre siècle. » Ce thème qui pourrait très vite faire la une des médias, a conduit Tugdual, entre autres sujets brûlants, à parler d’écologie humaine en janvier 2013. Ces mots prononcés publiquement ont eu une résonnance particulière chez Pierre-Yves Gomez et Gilles Hériard Dubreuil, et les ont conduits tous les trois au lancement du Courant pour une écologie humaine  dont l’enjeu est d’agir de la base pour changer la société.

 

Une question est formulée à Bordeaux sur le sujet : « Ne faudrait-il pas avant tout un changement politique ? »

Tugdual répond qu’il faut être patients pour ne pas céder au découragement. En effet, le mouvement social qui a eu lieu l’an dernier est un mouvement spontané, anarchique et foisonnant, et certains ont pensé pouvoir changer la donne tout de suite. Mais le Courant pour une écologie humaine s’inscrit sur le long terme et ne portera pas de fruits immédiats. C’est une infusion lente qui permettra une transformation en profondeur de notre société.

Je soutiens le Courant pour une écologie humaine

 Générateur d’espérance