À l’occasion de la parution du quatrième volume de notre ouvrage La Société de bien commun, nous avons recueilli les témoignages de différents acteurs et contributeurs, présents dans le livre. Ils racontent pourquoi ils ont décidé de prendre part au projet et livrent leur avis sur le livre sur ce nouvel opus. Voici le témoignage de Claire Oppert, violoncelliste.
Les regards croisés, pluridisciplinaires, sur les thèmes évoqués dans La Société du Bien Commun sont d’une richesse infinie.
“Je suis Claire Oppert. Je suis violoncelliste, enseignante et concertiste et j’interviens aussi en milieu hospitalier – auprès des personnes en fin de vie, malades, douloureuses, autistes et également atteints de démence – avec mon instrument, pour essayer d’apaiser, de relier les personnes en présence et de diminuer les douleurs.
J’ai été sollicité pour ce projet de Société de Bien Commun pour porter ma contribution de musicienne-soignante. J’ai accepté d’y participer parce que ce thème de la vulnérabilité nous touche tous. D’ailleurs, la grande leçon de la musique vivante jouée auprès des personnes vulnérables est justement de découvrir ce qu’elles peuvent nous apporter.
On inverse ainsi son regard, en créant cet échange qui est à la fois musical, humain et soignant. C’est en cela que l’on reconnaît sa propre vulnérabilité dans celle de celui qu’on accompagne.
Les regards croisés, pluridisciplinaires, sur les thèmes évoqués dans La Société du Bien Commun sont d’une richesse infinie. La puissance de la vulnérabilité se conjugue à travers toutes les professions. Si j’y ai contribué en tant que musicienne qui prend soin des personnes vulnérables, toutes les initiatives rassemblées sont des lignes de force essentielles pour élargir nos regards à tous et créer une société qui soit plus humaine.”
Pour en savoir plus : https://www.ecologiehumaine.eu/la-societe-de-bien-commun-puissance-de-la-vulnerabilite/
