Henri a lu le volume 1, puis le volume 2 et quand le volume 3 de la Société de Bien Commun est sorti, il s’est précipité pour le dévorer. Voici pourquoi.
“Je n’aime pas beaucoup les utopistes. Je vois notre société comme bien cynique, bien égoïste, bien triste, les cœurs se comptant « sur les doigts » (comme écrit l’autre)…
Pourtant, après avoir lu les témoignages des contributeurs de la Société du Bien Commun, qui ont « transformé leur façon d’être », vous démontrez que l’on peut en créer un monde :
• Où l’on ne se cache pas derrière un pseudo pour juger les gens en cent quarante mots.
• Où l’on montre son visage, avec ses rides, joyeux, souriant avant de témoigner.
• Où l’écriture oriente l’auteur vers une réflexion sincère de ses actes, nonobstant la pureté de ses intentions initiales.
• Où les principes ontologiques ou du bien commun précèdent les problématiques économiques. Où, vos actions réalisées éclairent différemment la crise des gilets jaunes, les médias traditionnels se consacrant principalement au pouvoir d’achat.
• Où une pensée se forme à partir des expériences de chacun. Une critique commune de notre société (réseaux sociaux, rapport au temps…) se dessine ainsi au fil des pages.
• Où les hommes transforment la société par leurs actes.
• Où le bien commun est technique, concret et existant.
Mais, ce monde est-il bien réel ?
N’a-t-on pas besoin de lois pour modifier le comportement des citoyens ?
N’existe-t-il pas des François PIGNON, dirigés par des boss pervers, et financés par des « hommes pressés » de voir le CAC40 atteindre les 6 000 points ?
Pourquoi ne témoignent-ils pas eux aussi de leur contribution au bien commun ? Existe-t-elle ? En ont-ils conscience ?
De nouvelles contrées peuplées d’hommes où « l’humanité est possible » à votre portée ; une terre à explorer.
Merci”
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