L’homme se définit comme un « mortel » car il sait qu’il mourra un jour. Avec la perte des rites de deuil, évoquer la mort, la nôtre à venir et celle, passée, de nos proches, risque de devenir tabou. La conscience de la mort est pourtant essentielle pour donner un sens à sa vie. Prenons le temps d’en discuter avec Tugdual Derville, co-initiateur du Courant pour une écologie humaine, mardi 18 avril 2023, de 12h30 à 13h30.
“Rien n’est plus affligeant que la mort du cœur, la mort de l’homme est secondaire.”
Proverbe
Pourquoi la mort – autrefois « socialisée » – semble-t-elle avoir quitté la vie sociale, en Occident, au point d’être reléguée au rang d’un événement intime sur lequel on fait silence ?
Faudrait-il occulter la mort pour vivre en paix ? En quoi la mort de nos proches peut nous aider à comprendre de la vie ? Ne faudrait-il pas restaurer ou réinventer des rites de deuil pour mieux vivre ?
Réfléchissons avec Tugdual Derville, co-initiateur du Courant pour une écologie humaine :
Mardi 18 avril 2023
de 12h30 à 13h30
Événement en ligne (Zoom)
(Sur inscription uniquement. Lien de connexion envoyé quelques jours avant l’événement)
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