Henri, Parisien de 38 ans, expert comptable et père de famille, témoigne de ce que lui apporte la Form’action écologie humaine : vers une humanité intégrale.
Si je devais faire un bilan, je dirai que je retiens surtout une façon d’être : prendre le bon côté des choses dans toutes situations, voir comment apporter des réponses à ces situations et ne pas subir.
“Je me présente, je m’appelle Henri. J’aime beaucoup le vélo, la marche à pied et la nature. J’ai décidé de vivre la Form’action écologie humaine parce que l’on m’a proposé de la vivre. J’y suis allé sans trop me poser de questions. D’autant que c’était un moment où, dans ma vie, j’avais besoin d’avoir une réflexion sur ce qui m’appelait, ce qui m’animait et vers où j’allais, professionnellement, notamment.
Pour l’instant, avec mon équipe, nous en sommes à la moitié du parcours. Mais si je devais faire un bilan, je dirai que je retiens surtout une façon d’être : prendre le bon côté des choses en toutes situations ; voir comment apporter des réponses à ces situations et ne pas subir.
Il y a beaucoup de thèmes qui m’ont intéressé :
- Le thème “habiter”. J’étais dans une équipe dans laquelle une personne habitait dans un petit appartement. Elle nous a montré comment elle s’y était prise pour que cet endroit de 15 mètres carré devienne convivial et chaleureux. Elle était très fière de l’aménagement qu’elle avait réalisée pour rendre cet endroit habitable.
- Le thème “s’enraciner” : s’enraciner dans l’endroit où l’on est sans pour autant que ce soit une identité figée, m’a beaucoup intéressé.
La première année, on l’a vécue avec les contraintes sanitaires que tout le monde connait. Heureusement, cette Form’action est facile à suivre – elle est décomposée en une vidéo, une petite étude de cas, quelques questions – ça donne la possibilité de se livrer si on en a envie et de réfléchir, de prendre du recul. Il me semble que pour beaucoup de membres de l’équipe, ça a permis d’exprimer les difficultés rencontrées dans cette période. Ca a fait beaucoup de bien. En tout cas, moi, je sortais de ces soirées avec des idées de choses à mettre en place pour faire en sorte que ma vie soit meilleure. J’ai ressenti la Form’action comme un moyen de se mettre en chemin.
C’est une bonne base pour faire le point et se réinventer. Moi, ça m’a motivé et montré le rôle que j’avais : VIVRE, le plus joyeusement, le plus simplement possible, en vérité, malgré mes limites et mes vulnérabilités.”
Pour en savoir plus sur le déroulement de la Form’action : https://www.ecologiehumaine.eu/formaction-eh/