J’ai aimé « Le temps de l’Homme » !

10 Juin, 2016 | Non classé

Albane est une étudiante d’une vingtaine d’années. A l’annonce de la parution du temps de l’Homme de Tugdual Derville, elle s’est ruée sur le livre et l’a dévoré. D’une plume alerte, elle partage son avis, manifestement enthousiaste, sans oser trop en dire pour ne pas vous gâcher la surprise !

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“Nous sommes en 2016. Toute l’humanité est menacée par la tentation transhumaniste. Toute ? Non ! Car une poignée d’irréductibles Homo sapiens résiste encore et toujours !

Le temps de l’homme a un petit air de Gosciny à quelques détails près …
À mesure que la science découvre et que les recherches aboutissent, l’équilibre de la nature humaine, jusqu’alors inébranlable, vacille.

Au commencement, une réflexion sur le commun que partage tout homme : le ventre maternel, la cellule familiale et le corps sexué. Un trépied en danger, proie de ceux qui souhaitent voir chanceler la nature humaine et avancer vers une transhumanie.
Ces limites entravent-elles notre liberté ? Carcan ou un terreau d’enracinement ? C’est précisément cette deuxième option que défend Tugdual Derville. Nos limites sont sources de beauté et de richesse, si l’on y consent.
Et quel émerveillement de voir, en France, la spontanéité de la mobilisation quand le ciel menace de tomber sur la tête ! Il s’agit d’une spécificité française, d’une culture et de l’histoire propre d’un peuple, pionnier dans la défense des droits de l’homme, attaché à la vie et à son mystère. Prêt à tout pour la défendre.
Enfin et surtout, cette résistance n’est autre que de l’écologie humaine : une marche sereine et confiante, enracinée dans le réel.
Elle s’attache à soigner ce qui est bon pour tout l’homme et tous les hommes : créer du lien les uns avec les autres, ménager les communs, accepter la vulnérabilité pour créer ensemble une société bienveillante.
Cette écologie humaine défie la volonté des tout-puissants qui rêvent à un nouveau meilleur des mondes, défait de ses chaînes. Assurément, elle est en marche et croît lentement à travers ces 320 pages.
Tugdual Derville est d’un optimisme rare et plein d’espoir, à croire qu’il est tombé dedans étant petit !”

 

En savoir plus :

>> Tugdual Derville nous invite à la révolution de l’écologie humaine !

>> www.letempsdelhomme.com

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